Le Passé Simple (1)

Dans ces textes, souligne les verbes au Passé Simple.

Un véritable raz-de-marée submergea l'engin. Guntr s'accrocha énergiquement au volant. Un voyant orange s'alluma sur le tableau de bord. Il appuya aussitôt sur les deux boutons latéraux. Puis il abaissa une manette.

Le soir, on amena le cheval sur la place. Certains citoyens l'attrapèrent par la queue. Dès qu'ils le lâchèrent, le cheval bondit. Il plia le dos et expédia le cavalier en l'air. Tous les gens crièrent en voyant cela.

Guntr sauta dans le canal et nagea vers la berge. Jean et Joël plongèrent à leur tour, sans hésiter. Tous trois abordèrent sur un sol lisse et froid. Guntr s'élança vers l'amoncellement des tuyauteries. Les deux autres lui emboîtèrent le pas.

Christophe essaya en vain de se relever. Le petit bourgeois le poussa encore. La fillette lui donna des coups de pied. Ils se jetèrent tous les deux sur lui, s'asseyant sur son dos. Ils lui appuyèrent la figure contre terre.

Les petits qui avaient peur se poussèrent de l'épaule. Mais il pleuvait fort, alors l'aîné se risqua. Il gravit les barreaux de l'échelle en chancelant. Deux mains l'empoignèrent et le tirèrent à elles.

Des gens avertirent un marchand qu'un bateau arrivait. Il demanda à ses filles ce qu'elles voulaient. Les aînées demandèrent des robes et des coiffures. La Belle rougit quand ses sœurs se moquèrent d'elle. Elle se contenta d'une rose.

Gustave et le professeur entrèrent dans la banque. Le professeur se plaça à côté du voleur. Revenu au guichet, le caissier lui demanda ce qu'il voulait. Le professeur réfléchit un court instant. Les employés cessèrent leur travail.

La jument se dressa sur ses pattes et chargea. Les deux hommes roulèrent dans la poussière. Une lueur d'espoir emplit Folco de joie. Mais les voleurs se lancèrent à sa poursuite. Ils réussirent à lui passer une autre corde.